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Si la classification délivrée par l’Uptime Institut bénéficie d’une notoriété grandissante, c’est parce qu’elle a le mérite d’une certaine logique qui la rend très lisible : plus votre niveau de certification est élevé, plus grande est la qualité de votre datacenter. Un Tier II est d’une qualité moindre d’un Tier III. Simple, basique. Chez Thésée DataCenter, nous voulions – et nous avons réussi ! – être certifiés Tier IV.

Pour autant, en chemin, nous avons pu relever un bon nombre – hmmm, comment dire ? – …d’idées fausses concernant la certification en général, et le Tier IV en particulier. Nous vous proposons de les débusquer ci-après !! Prêts ?!? Allons- y !

Rappelons d’abord brièvement ce qu’est un datacenter Tier IV : facile, c’est un datacenter « tolérant aux pannes » ce qui lui permet de continuer à fonctionner même en cas de panne, et qui assure donc le plus haut niveau possible de disponibilité.

Voilà.

Car oui, il faut vous l’avouer : il y a des pannes dans les datacenters ! Celles des équipements de tous types qui peuvent être défaillants, ou celles induites par le mauvais geste ou la mauvaise intervention. Chez Thésée DataCenter – si, comme dans tous les datacenters nous faisons très très attention à la qualité de nos équipements, et à la rigueur des interventions techniques – nous avons en plus de nos confrères un niveau de redondance de nos équipements qui permet une réponse automatique et en temps réel à chaque panne, pour que la production IT ne soit jamais impactée.

Mais alors, ces idées fausses ?

 

 

1) On ne peut pas faire un datacenter Tier IV en France?

Une vieille légende voudrait qu’il soit nécessaire d’avoir deux fournisseurs d’énergie différents – Lefèvre Energie et Martin Electricité ? – pour prétendre à ce niveau de certification. En fait ce qui est requis, ce sont deux adductions d’énergie différentes, ce qui est bien différent !
Et sinon, autre élément de réponse : Thésée DataCenter – acteur 100% français – EST certifié Tier IV. Donc : c’est possible !

2) Un datacenter Tier IV ou un datacenter Tier III+, voire Tier III, c’est pareil ?

Euh, …non, pas du tout. Déjà parce que « Tier III+ » cela n’existe pas !! N’existent pas non plus le « Tier I+ » ou le « Tier II+ » : c’est contraire à la logique même du classement dans la certification ou votre résilience est fonction de la redondance de vos équipements critiques, et votre classement est donc fonction de votre point le plus faible dans votre chaine technique. Pas de « + » possible : ça ne veut strictement rien dire.
Reste le match Tier IV versus Tier III : et c’est encore Tier IV qui gagne ! Car un Tier III reste exposé à l’arrêt de la production IT sur les pannes, en particulier sur des interventions ou des défaillances non programmées. Prenons un exemple : la défaillance d’un seul tableau électrique affectera chaque sous-panneau et composant d’équipements alimentés par le tableau. Un Tier III pourra avoir un impact sur la salle informatique, quand un Tier IV …n’en aura aucun. Ce qui n’est que l’une des trois différences majeures entre les deux niveaux de certification. Victoire par KO.

3) Un Tier IV, cela ne correspond à aucun vrai besoin !

Presque vrai. Recourir à un hébergement dans un datacenter certifié Tier IV, c’est affirmer une seule exigence : celle de la disponibilité la plus élevée, et garantie. Ce qui est le premier critère à l’achat dans un espace de colocation : mettre sa production IT entre les mains de professionnels de l’hébergement, pour avoir la meilleure qualité de service.
Si la production IT à l’inverse n’est pas importante, pas du tout critique pour l’activité, si elle supporte les pannes – rares ou fréquentes – et les indisponibilités, si les applicatifs hébergés tolèrent un fonctionnement intermittent alors le Tier IV est sans doute non nécessaire, une simple salle blanche pourra suffire. Ce qui reste quand même à croiser avec les coûts sans cesse plus élevés des pannes informatiques dans les organisations de travail.

Par contre, pour toutes les DSI sérieuses, un tier IV reste l’assurance du meilleur choix !

 

 

 

 

4) Un Tier IV, c’est forcément une très mauvaise efficacité énergétique.

C’est faux. Le PUE (Power Usage Effectivness) est un indicateur d’efficacité énergétique souvent employé : plus il est bas, plus efficient est le datacenter dans son usage de l’énergie. En France le PUE d’un datacenter est autour de 2,5 en moyenne. Et celui d’un Tier IV serait plus élevé encore, puisque les équipements s’y trouvent en plus grand nombre pour avoir la meilleure résilience possible ? Ce n’est pas aussi mécanique en fait, et cela dépend du choix des technologies sur site. S’il est plus simple pour un datacenter Tier II d’avoir un faible PUE, ceux de Thésée DataCenter auront un PUE de …moins de 1,2 !! Ce qui les positionne parmi les plus efficients du marché français.

 

5) Un Tier IV, c’est forcément plus cher !

Non pas forcément ! Contrairement aux idées reçues, un datacenter certifié Tier IV n’est pas plus cher. Car avec un bon PUE il sera très économe sur la facture d’énergie présentée à ses clients, et il sera alors très compétitif !

Avec un PUE inférieur à 1,2 nous avons chez Thésée Datacenter une vraie capacité à proposer la meilleure qualité – certifiée – avec des prix les plus justes !

Mais pour ce dernier point, il va vous falloir nous contacter pour le vérifier et comparer, bien sûr !! N’hésitez pas !!!

 

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